mercredi 26 novembre 2014

Ticket gratuit pour l'Alsace !

Chez Accueil et Tradition, nous avons un amour pour la région alsacienne. Chaque année, nous avons la chance de pouvoir accueillir dans nos différents restaurants le chef étoilé Michel Husser. C'est pourquoi je vous propose aujourd'hui la recette de la choucroute garnie à l'Alsacienne revisitée par le chef Butt du Kelderke :

Ingrédients (pour 6 personnes) :

Copyright : 
PhotoGallery ASBL – Arnaud Everaerts
- 2kg de choucroute bio crue de la ferme Frieh en Alsace
- 20gr de Saindoux
- 20gr de graisse d'oie
- 1 carotte
- 1 oignon piqué au clou de girofle
- Bouquet garni (thym, laurier, baies de genièvre)
- Palette fumée (de chez Metzger Muller)
- Poitrine fumée (de chez Metzger Muller)
- Saucisse ail fumé (de chez Metzger Muller)
- Knack d'Alsace (de chez Metzger Muller)
- Saucisse de Colmar (de chez Metzger Muller)



Préparation :

Disposer la choucroute avec le saindoux, la grasse d'oie, carotte, oignon piqué, bouquet garni, la palette et la poitrine fumée dans une marmite en fonte, mouiller à hauteur avec de l'eau, laisser mijoter pendant 1h30.

Réchauffez la charcuterie de chez Metzger Muller, coupez-la en tranche et cuisez les pommes de terre à chair ferme (de type Roseval) al dente.

Dresser la choucroute sur assiette avec la saucisse de Colmar,une knack d'Alsace, une saucisse à l'ail, un lard fumé et un petit salé. Servez avec des pommes de terre et de la moutarde.

Bon appétit !

jeudi 23 octobre 2014

La folie des vide dressing

Apparus il y a quelques années, ils envahissent nos évents Facebook au grand bonheur des férues de mode et fans de seconde main. Je parle bien entendu des vide-dressings.
Pour ceux qui ne connaissent pas encore ce concept, le but de ces réunions (entre filles le plus souvent) est d’apporter des vêtements de sa garde-robe que l'on ne porte plus afin de les échanger ou de les vendre contre d'autres pièces délaissées par ses propriétaires.

 Dans notre salon, sur internet ou encore dans des cafés, restaurants, la place ne manque. Il est possible de mettre en place ces événements conviviaux dans n'importe quel lieu, du moment que nous avons des amies prêtes à se lancer dans l'aventure.

La semaine dernière j'ai eu la chance de rencontrer Alice, organisatrice de vide dressing sur Bruxelles. Elle a accepté de répondre à mes quelques questions et de m'expliquer un petit peu plus les coulisses de son nouveau hobby.

Voici son interview :
  • Bonjour, Alice, peux-tu te présenter très rapidement ?
Je m'appelle Alice De Mey, j'ai 23 ans et j'effectue actuellement un master en architecture d'intérieur à St-Luc, Bruxelles.

  • Depuis quand connais-tu le système de vide dressing ?
Cela doit faire deux ou trois ans que je connais le système de vide dressing et j'y ai directement adhéré pour son côté innovant, jeune, jamais vu, économique et convivial.

  • Participes-tu à nombreux de ces échanges ?
Pour le moment je travaille plus par vide dressing virtuel (groupes sur Facebook par exemple), mais finalement cela n'enlève en rien sa convivialité, il m'est arrivé d'aller boire un verre après une vente pour continuer à discuter avec la cliente/vendeuse de sujets communs.

  • Qu'est-ce qui t'a donné l'idée d'organiser ton premier vide dressing dans un restaurant au Luxembourg ?

Il est toujours compliqué d'organiser un vide dressing : il faut trouver le lieu, le bon moment, le bon public,... Je pense que le problème récurant à toutes celles qui y ont déjà songé est le lieu, car il reste délicat d'ouvrir la porte de chez soi à de parfaits inconnus... Lorsqu'on nous a proposé d'organiser une vente dans le restaurant Onesto à Luxembourg, nous y avons directement vu une belle occasion de pouvoir occuper un lieu de qualité et de profiter de la clientèle du restaurant. De plus, il semblait que le concept de vide dressing ne soit pas encore présent sur le territoire luxembourgeois, occasion de plus d'aller s'y implanter le temps d'un weekend.

  • Quel genre de vêtements peut-on trouver lors de tes événements ?
Pour celles et ceux qui ne connaîtraient pas le concept, il s'agit bien là de proposer à la vente des vêtements en parfait état, souvent de marque et de bonne qualité. Lors de l'événement, 4 exposantes de style et âge différents proposeront leurs pièces parmi lesquelles on retrouvera sacs, robes, vestes, accessoires, chaussures, pantalons, cuir, t-shirt, vestons, chemises... de toutes les tailles et tous les prix. De plus, nous avons la chance de pouvoir proposer aux clientes en vente privée (neuf) des bijoux de créateurs (fantaisie et argent) et des cosmétiques bio (pas encore sur le marché belge). Au final, ce sera un vide dressing qui répond à un public large du point de vue du style, du budget ou des centres d'intérêt.

  • Après celui qui aura lieu à la Brouette le 8/11, envisages-tu en organiser d'autres ?
Les exposantes et moi préférons travailler au coup par coup, il s'agit pour le moment de se concentrer sur notre vide dressing du weekend des 8 et 9 novembre, après nous rebondirons sur une autre date, peut-être un autre endroit !

  • Quelle est la chose que tu préfères le plus dans l'organisation ? Mais aussi dans le fait de participer ?
Organiser un vide dressing peut paraître anodin, mais cela demande beaucoup de rigueur dans les jours qui précèdent (annoter et référencer l'entièreté des vêtements) et de courage lors du montage et du démontage. En effet, nous avons vraiment pour but de faire plaisir aux clientes et visiteurs qui nous rendent visite, qu'ils se sentent accueillis dans un endroit agréable et passent un bon moment. Mais je pense que ce qu'il me plait le plus lors de ces événements c'est lorsqu'une cliente a le coup de foudre pour une pièce, car on voit alors toute l'importance de remettre sur le marché des vêtements ou autres accessoires auxquels on avait soi-même tourné le dos.

  • Achètes-tu dans des magasins de seconde main ? 
J'adore les magasins de seconde main et les fréquentes depuis que je fais du shopping ! Quand j'avais 15 ans, il y en avait beaucoup moins, mais actuellement on peut facilement en trouver dans Bruxelles. Ils ne sont pas très différents des vides dressings à mes yeux, car ils permettent de faire revivre des objets oubliés. D'autre part ils confèrent à l'acheteuse un caractère original, car ce n'est pas le genre de pièce que l'on va retrouver dans tous les magazines ou dans les vitrines de la rue neuve. Faire son shopping dans un magasin seconde main est d'une grande liberté pour moi, car l'on n'est pas régi par un style dicté, mais on a le droit d'y choisir la pièce qu'on aime, et repartir avec...

  • Pourquoi conseillerais-tu à nos lecteurs d'assister à un de ces trocs ? 
Je n'utiliserais pas le mot troc, car dans les faits il s'agit bien d'une vente dans ce cas-ci (même si je rêverais de pouvoir organiser un jour un énorme troc, mais pour cela nous aurions besoin de plus d'intervenantes). Je conseillerais aux lecteurs de passer faire un tour, car s’ils ne connaissent pas le concept de vide dressing ils seront sûrement étonnés de la largeur de notre champ d'action et si ils connaissent, je suis certaine qu'ils seront tentés de venir faire la chasse aux pièces uniques et autres bonnes affaires!

  • Et les vides dressing en ligne qu'en penses-tu ? (Page FB...)
Comme je l'ai dit plus haut, c'est un concept que je trouve génial et auquel j'ai moi-même directement adhéré. Cela permet de trouver facilement des pièces basiques ou plus originales à petits prix et comme neufs ! Personnellement j'aime y chercher des pièces de qualité pour lesquelles je ne pourrais pas mettre le prix du magasin : veste en cuir, sacs de couturiers...
De manière plus générale, on ne peut nier le climat de crise économique qui plane au-dessus de nos têtes et le vide dressing reste une très bonne alternative au shopping traditionnel.

  • Finalement peux-tu me donner toutes les infos pratiques sur le vide dressing de la Brouette ?
Weekend des 8 et 9 novembre 2014 de 13h à 20h au premier étage du restaurant "La Brouette" sur la Grand Place de Bruxelles.

On vous y attend nombreuses!


En espérant que cet article vous ait plu et vous ai convaincu de ce concept, je remercie encore mille fois Alice pour m'avoir consacré autant de temps pour l'écriture de cet article.

mardi 23 septembre 2014

Recette du Suprême de pintadeau braisé aux choux de Bruxelles

Aujourd'hui j'ai décidé de partager avec vous une des spécialités de La Roche Blanche
La fin de l'été avance à grand pas, afin de laisser place à l'automne et surtout à la saison de la chasse. 
Pour marquer cette période, je vous propose la recette du délicieux suprême de pintadeau braisé aux choux de Bruxelles.

Pour 4 personnes

Ingrédients :
1 gros pintadeau de +/-1,5 kg ou 2 petits de +/-900 g
1 kg de chou de Bruxelles
1 bière blanche
2 cuillerées à soupe d’huile d’olive
4 cuillerées à soupe de sucre semoule
2 dl de crème fraîche liquide
Sel et poivre

Préparation :

Salez et poivrez l’intérieur des pintadeaux.
Nettoyer et retirer les feuilles ternes des choux et couper les en 2.
Dans une cocotte, faire dorer les pintadeaux dans l’huile pendant 5 minutes, salez et poivrez. 
Retirez les pintadeaux de la cocotte et faites-y revenir les choux à feu doux. 
Mélangez et saupoudrez de sucre et laisser cuire encore 2 à 3 minutes.
Remettez les pintadeaux dans la cocotte, disposez les choux autour, arrosez de bière, couvrez et laissez mijoter à feu moyen pendant +/- 1h 

En fin de cuisson, ajoutez la crème, donnez quelques bouillons pour lier la sauce et rectifiez l’assaisonnement.

Bon appétit !

mercredi 17 septembre 2014

Lumière sur le 9ème art !

Première BD 
Née en Suisse au début des années 1830, la Bande Dessinée s'est réellement fait connaître au cours du 14ème siècle dans le monde entier via les revues et journaux satiriques.

Destinée dans un premier temps à la presse pour enfants, elle tentera dans les années 1960 de conquérir le coeur des adolescents puis des adultes.

Tintin au pays des Soviets
En Belgique, c'est en 1929 qu'elle a fait son apparition avec le très célèbre Tintin.
Georges Remi plus connu sous le nom de Hergé (contraction de ses initiales) réalisait des petites histoires illustrées pour la revue Le Boy-Scout belge quand on lui demanda de se charger de l'illustration de quotidien Le XXe siècle. C'est à ce moment que le reporter le plus voyageur du monde fut inventé. Sa toute première aventure se trouve "au pays des soviets". Suivra ensuite Tintin au Congo, en Amérique, en Inde...
Très vite suivront Le Journal de Spirou, Blake et Mortimer, Lucky Luke, Achille Talon et bien d'autres.

Pour rendre hommage à ses plus de 650 auteurs, la ville de Bruxelles redouble d'ingéniosité. Du Centre belge de la Bande Dessinée, au Moof jusqu'à la fête de la BD il est quasiment impossible de ne pas savoir que cet art est une réelle spécialité nationale.

Pour l'écriture de cet article, j'ai décidé de m'attarder sur le fameux parcours de la BD et de me rendre à la visite guidée organisée par Visit Brussels totalement dédiée à cette thématique.
Depuis 1991, il est possible de flâner dans les rues les plus connues du centre ville jusqu'aux quartier les plus calme de la capitale tout en s'émerveillant sur les oeuvres majeures qui ont marqué l'histoire de cet art.

A 14h, nous sommes donc partis de la Grand Place direction la belle statue d'un Schtroumph qui annonce l'entrée de la Gallerie Horta mais aussi du musée des figurines des personnages de BD.
Après avoir traversé les Galeries Saint Hubert, la Rue des Bouchers, la Galerie des Princes nous sommes finalement arrivé vers la première fresque du parcours. Gaston Lagaffe est donc le premier à ouvrir la marche vers la quarantaine d'autres murs décorés. Durant cette visite nous avons donc pu rendre visite à Bob et Bobette sur la place du Béguinage, Billy the Cat au niveau de la rue d'Ophem mais aussi le Cubitus de Dupa, Black et Mortimer et bien d'autres !

Le vrai point positif de cette balade, c'est qu'il est possible de découvrir bien plus que l'histoire du 9ème art. Nous avons en effet pu croiser des monuments érigés à la mémoire de patriotes mort au combat, mais aussi de somptueuses églises et maisons de style Art Nouveau, des cafés et restaurants qui font la fierté de la ville.

Au final, cette longue excursion de 2h m'a permis de découvrir des recoins de la ville que je ne connaissais pas et surtout d'en apprendre plus sur le patrimoine matériel et immatériel de Bruxelles. Une chouette expérience que je recommande à tout le monde, à condition bien sûr de porter de bonnes baskets.

mercredi 27 août 2014

Rencontre avec Lucien, le chef de la Taverne du Passage

Jeudi dernier j'ai eu la chance de me voir accorder un tête à tête avec le Chef de la Taverne du Passage.
Lucien Lissens m'a accueilli dans ses cuisines pour me parler un peu de son métier mais surtout de sa passion.


Bruxellois d'origine mais Ostendais de coeur, Lucien ne garde jamais sa langue dans sa poche. Cuisinier depuis 37 ans dont 35 au sein de la Taverne du Passage, il est tout autant connu pour son franc parler que ses délicieuses croquettes aux crevettes grises de la Mer du Nord.

Quand on lui demande ce qu'il préfère dans son métier, il n'hésite pas un instant et nous répond que c'est l'ambiance spéciale de derrière les fourneaux. Aucun jours ne se ressemblent. Il vit son métier au quotidien avec réel plaisir et ne changerait de job pour rien au monde.
Chaque service est un vrai coup de feu qui lui rappelle pourquoi il a choisi de faire ce qu'il fait aujourd'hui. Tout d'abord parce que c'est un "truc de famille" mais surtout parce qu'il en avait toujours eu envie !
De plus il révèle aimer le côté créatif de la cuisine. Il est possible de s'amuser à réinventer des spécialités tout en gardant leur authenticité.

Finalement, s'il devait décrire la gastronomie Bruxelloise, il la comparerait aux Belges : riche et généreuse ! Son plat national préféré est la carbonade flamande, même si il avoue avoir une petite préférence pour les plats exotiques.

Merci encore Lucien pour ce temps que vous m'avez accordé.

Au passage, saviez-vous que la carbonnade a en fait été "inventée par la communauté espagnole qui travaillaient dans les mines : "Carbonnade" ayant dans sa racine étymologique le mot Charbon".

Source : Le Monde

jeudi 14 août 2014

Bruxelles mon amour

"Dynamique", "Cosmopolite", "Culturelle", "Jeune"... Si je devais faire une liste de tous les adjectifs positifs représentant Bruxelles aux yeux des étrangers, je pourrais écrire des pages et des pages.
Plus qu'une ville dans laquelle on s'installe temporairement, Bruxelles est une ville où l'on se sent bien, où l'on a envie de rester et surtout où l'on est très vite intégré !

Je peux en effet parler en connaissance de cause, car je suis arrivée dans notre chère capitale européenne il y a exactement 3 ans. Je m'en rappelle comme si c'était hier... Un été gris, pluvieux, froid mais des personnes toujours positives et souriantes. En tant que Française, c'est dans mon ADN de râler à longueur de journée de tout et de rien. Mais ici à Bruxelles, j'ai appris à positiver même après 6 jours de pluie non stop en plein mois de juillet.

Après avoir interrogé de nombreux étrangers de diverses nationalités installées depuis plus ou moins longtemps dans la ville, j'ai pu constater que tous étaient d'accord sur le fait que les Bruxellois sont des gens hors du commun. En plus d'être drôles, sympathiques et accueillants, ils ont aussi la chance de pouvoir rire d'eux-même, être ouverts d'esprit et de savoir s'amuser ! Et le pire c'est que lorsque je raconte à des amis ce que l'on dit d'eux, ils n'arrivent pas à me croire... A croire qu'ils sont parfaits...

Mais pour beaucoup d'autres, Bruxelles est associée à ce que l'on entend dans les médias  : "la Commission", "le Parlement européen", "la crise de l'euro ou alors les clichés tels que les frites, le Manneken Pis, les moules et le chocolat.
Mais comme nous le savons bien, c'est bien plus que ça ! C'est aussi une gastronomie riche et généreuse, Magritte, le marché des Marolles, les BD, le vintage ou encore sa verdure à perte de vue.

En fait, Bruxelles est cet endroit où nous pouvons jouir de la vie grâce à une combinaison parfaite entre plaisir gustatif mais aussi émerveillement visuel et culturel. Le melting pot social apporte à la ville sa singularité qui la démarque de toute autre capitale. Les langues se croisent et se rencontrent, les nationalités se confrontent mais toujours dans alchimie originale et fascinante.
Après tant d'années, la capitale belge a en effet réussi à garder de son caractère authentique tout en s'accommodant aux nouveaux modes de vie de ses habitants. Les événements folkloriques tel que le Meyboom cohabitent avec des soirées plus alternatives comme le Reclyclart ou la Nuit Blanche.

Nous aimons Bruxelles car elle reflète finalement une partie de chacun d'entre nous. Malgré les kilomètres qui nous séparent de nos villes natales, nous, nous sentons toujours chez nous et nous pouvons trouver le réconfort dont nous avons besoin.





mardi 12 août 2014

Recette du Stoemp aux poireaux

Avec ce temps plutôt capricieux, je vous propose une recette du très renommé Stoemp de Bruxelles qui pourra réchauffer nos coeurs et nos estomacs.
La recette est proposé par notre directeur des opérations Julien Van Beneden qui a l'habitude de cuisiner pour sa famille.

Pour 4 personnes :

500 g de pomme de terre (Bintje)
6 blancs de poireaux
100 g de lard
50 g de beurre
10 cl de crème fraîche épaisse
sel, poivre, noix de muscade

Eplucher les pommes de terre
Nettoyer les poireaux, couper les en brunoise (en carré)
Couper les pommes de terre en morceaux pour faciliter la cuisson
Couper le lard en lardons.
Faire chauffer une petite poêle à feu vif
Ajouter les lardons et les laisser rissoler 5 minutes jusqu’à ce qu’ils soient bien colorés.
Retirer du feu et réserver
Faites cuire les poireaux une dizaine de minutes dans une poêle avec un peu de beurre et d'eau
Ajouter la crème en fin de cuisson et les réserver dans la poêle
Faire bouillir de l’eau salée dans une casserole à feu vif
Ajouter les pommes de terres

Laisser cuire 20 à 25 minutes jusqu’à ce que les pommes de terres soient bien cuites. N’ayez pas peur de les laisser 5 minutes de trop car elles seront d’autant plus faciles à écraser.
Egoutter les pomme de terre et les placer ensuite dans un saladier
Ecrasez les à la fourchette, au presse-purée ou avec un moulin à légumes manuel. Il est important que l’opération ne soit pas faite à la machine pour éviter d’avoir une texture trop fine et uniforme.
Ajouter les lardons, les poireaux et laisser fondre le beurre coupé en dés sur les pommes de terre écrasées.
Râper un peu de muscade.
Saler et poivrer
Bien mélanger le tout.

Servir chaud accompagné de boudin ou d'un pavé de cabillaud, d’une côte de porc spiering ou de saucisses de campagnes, ou enfin tout simplement sur une tartine avec de la moutarde.

Smakelijk !